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samedi, 29 octobre 2011

Vénus chez la "Libre-Ere"...de Ménilmontant!

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Spirituel!

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Ô mon Guide!

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jeudi, 27 octobre 2011

TéléZéroJour au Programme des "150 bars-concerts" de Paris!

Grâce au journaliste et photographe, Pierrick BOURGAULT,

Le chanteur de TéléZéroJour, Mister Gym, sera au programme du Guide des 150 Bars-Concerts de Paris qui vient de sortir aux éditions BONNETON, suite à  un live-show donné à l'ENTREPOT (Paris 14ème) en mai 2011.

Par ailleurs, le cd "Vénus Toute Nue" a enfin séduit des librairies indépendantes...

Il est en dépôt-vente chez "Libre-Ere", 111 Boulevard de Ménilmontant

Et sera en distribution à la "Musardine", la librairie érotique de Paris, partir du 15 novembre.

La rentrée s'annonce donc plus faste que prévu d'autant que, je le note en aparté, les femmes sont chaudes en ce moment, cela doit correspondre au cycle de la lune...

Puisqu'un public unanime le réclame à grand cri, "TéléZéroJour" reprendra donc avant fin 2011 sa tournée des bars avec un nouveau spectacle où la chanson cotoiera la danse. L'effeuillage émotionnel deviendra charnel...

dimanche, 23 octobre 2011

La Préface de l'Essai en cours: "Pour Guérir de Suivre un Cul"!

ESSAI CRITIQUE EN PRELUDE AU CD "Vénus Toute Nue"

 

 

Pour guérir de "Suivre un cul": 

 

Préface :

 

Un jour de printemps ensoleillé, à l'heure de l'apéritif, un ami vint me rejoindre

à la terrasse d'un bistro de quartier. Sitôt installé à table, il me confia que pour arriver jusque là,

il avait suivi une sacrée ribambelle de "p'tits culs".

La force d'évocation de la formule, je ne l'ai pas perçu immédiatement.

Et puis sa justesse se révéla vite au travers du jeu des regards masculins,

Qui renvoyait, comme un miroir, à ma propre attitude.

J'y consacrai donc une chanson en forme de constat et d'aveu, peut-être d'impuissance, intitulée  :"Suivre un cul".Un homme y confessait le bilan d'une journée où il répertoriait les paires de fesses qu'il avait croisé avant que son intérêt visuel devenant plus tactile, il ne soit finalement châtié par une claque retentissante.

Pris dans le tourbillon de la création, j'imaginais un petit concept-album autour de ce thème.

Et pour montrer que cette coquinerie s'exonérerait de toute vulgarité, hommage y fût rendu à l'illustre La Fontaine, qui s'était jadis aventuré sur cette ligne de relief, ô combien vertigineuse, avec un conte hardi et méconnu. A la sortie du disque, baptisé "Vénus toute nue", le retour des auditeurs ne fût pas sans critique. 

On taxa la légèreté de l'ouvrage; on condamna son manque de profondeur.

Je ne pouvais qu'en convenir : le projet n'avait d'autre ambition que de proposer un divertissement humoristique; il ne visait pas l'anthologie poétique de la chanson française.

En mon fort intérieur, je restais néanmoins convaincu de la pertinence d'un sujet qui n'avait été qu'à peine effleuré.Cette conviction, profondément ancrée, résidait dans l'observation de la réalité quotidienne.

Elle était fondée sur l'énigme de l'attrait sans cesse renouvelé des hommes face au balancement d'une chute de reins. Si l'attirance subsistait après le millième "petit cul" et si même les "gros culs" entraient  dans leurs collimateurs, il y avait là les prémices d'un mystère à découvrir.

Or, l'un des écueils du chansonnier tient à ce que son outil d'expression est limité par les carcans de la mélodie, de la rime et de tant d'autres contraintes d'un genre qui se doit d'être directement recevable aux oreilles et à l'esprit du public. Cet art de la concision suppose parfois la simplification.

Franchissant le rubicon séparant l'émotion de l'analyse, je décidais donc de mettre en  chantier un genre d'essai, 

sans autre finalité que de satisfaire mon propre entendement. A nouveau, j'entendis les gens se gausser. 

Certains, parmi les plus éloquents, classaient le prétendu phénomène dans la catégorie des "choses dites naturelles"; relevant de l'évidence, il serait du même coup inexplicable, comme il en va par exemple de l'attirance entre sexes opposés. Je me souvins néanmoins d'une remarquable maxime de Bertholt BRECHT affirmant en substance:"Puisse la chose la plus évidente nous inquiéter".

Ma quête fût ainsi remise en selle. D'autres voix crièrent alors à l'obsession et me conseillèrent d'aller me faire soigner.Ce diagnostic, je le faisais mien car au travers de cet essai, l'intention était de bien de chercher un remède. L'artiste, qu'il soit peintre, sculpteur ou chansonnier, reste en effet sous l'emprise d'une muse souveraine. S'il est utile de laisser la muse oeuvrer en secret, la démasquer permet d'échapper à son diktat.

En l'occurence,  après des mois à "suivre des culs"  et à m'interroger sur cette problématique, je n'aspirais qu'à redevenir libre. Etait-il d'ailleurs socialement acceptable de continuer à mater des culs, sans distinction, à quarante ans passés? Etait-il moralement convenable de risquer blesser inutilement les femmes autour de moi? Finalement, donc, mon désir irrépressible d'explication triompha du poids d'une habitude dont je finissais par me lasser.A présent guéri de cette étrange addiction grâce à l'écriture de cet essai, j'ai repris goût à "suivre un cul" avec plus d'acuité et surtout sans culpabilité; un peu comme le gros fumeur devenu consommateur occasionnel. Ces quelques mots éclaireront le lecteur sur le titre de cet essai qui est né d'une volonté d'émancipation. Au premier chef, ce texte est à destination de tous les curieux et curieuses, qui voudront aller au-delà des apparences. A tous ceux et toutes celles dont les yeux furètent dans la rue, d'une manière irrépressible, et qui voudraient bien savoir pourquoi...

 

Nota Bene :

En conclusion de cet essai, vous trouverez joint "Vénus toute nue" (le cd simplement, ne vous réjouissez pas trop) qui en constitue l'origine, comme il vient d'être dit. Précisons que ce titre est à Monsieur Pierre Perret, qui en fit la muse de son inspiration poétique dans un joli livre autobiographique, dont il faudra retrouver l'intitulé (ne serait-ce pas "Le Café du Pont"?). Tout ceci pour confesser (quel joli verbe n'est-ce pas) que les "mateurs de culs" sont aussi parfois des "emprunteurs de phrases", mais ceci est une toute autre histoire...

 

S'émouvoir de voir un cul se mouvoir...

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mercredi, 19 octobre 2011

Mais dévoilé, pour vous...

Attention aux apparences, ce n'est pas une formule de gourou, du genre à être envoyé à vingt personnes de ton entourage pour porter chance, encore que...

 

Après avoir créé l'univers, les dieux se demandèrent où dissimuler la vérité. Sur la plus haute montagne? Tout au fond des mers? Sur la face cachée de la Lune? Finalement, ils se dirent : "Cachons-la dans le coeur de l'homme. Il la cherchera partout sans se douter qu'elle se trouve au plus profond de lui-même".

(Proverbe hindou)

Un secret bien gardé...

vendredi, 14 octobre 2011

Vénus à la "Fête de l'Huma"...

Pour une grande célébration de la féminité...en septembre!

 

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Devant l'appareil de Nicolas ROOS, un photographe de haut vol.


A retrouver sur son Blog...


http://www.nicolasroos.com/2011/09/red-is-dead/photo

jeudi, 13 octobre 2011

Toto au Salon d'Automne...

Un peu de promo pour les amis du Programme...

Sachez donc que le beau PISSACO T. expose en ce moment une toile (dite "AGGRESSION!", argh!) dans le cadre du Salon d'Automne des Arts Plastiques qui se tient à Paris8 . La photo sera bientôt en ligne ici même.

L'exposition a lieu sous un hall-chapiteau, installé en bas des Champs Elysées, en direction de La Concorde.

De  nombreuses oeuvres originales méritent le déplacement dont une burka, ornée de fil de fer barbelé, suspendue à une potence et qui évoque un punching ball : de la provocation bien sentie. Dans un tout autre genre, un vagin taillé et sculpté dans une souche d'arbre monumentale est également du plus bel effet.

Pour mémoire, le Salon d'Automne constitue un rendez-vous incontournable de l'art contemporain depuis plus d'un siècle. Bravo donc à Toto PISSACO pour sa sélection...

Rappelons que le grand Paul Cézanne y fût exposé en 1904.

 Ci-après joint le tableau des "BAIGNEUSES" pour évoquer Vénus bien sûr :

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