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jeudi, 29 janvier 2009

Sweet Jane : Douce Jeanne

Voici notre traduction, assez fidèle je l'espère , de la célèbre chanson du grand poète NewYorkais, Lou Allan Reed, rocker également de son état...

 

DOUCE JEANNE

J’attends planté au coin de la rue
Mon étui de gratte à la main
Jacques est dans son costard,
Jeanne est dans sa veste,
Et moi je suis dans un groupe de rock !
Jim se promenait dans une belle caisse
C’était vraiment une autre époque
Les poètes étudiaient la versification
Et les Dames roulaient leurs yeux brillants


Sweet Jane !
Oh, pardon...
Douce Jeanne !

Je ne vous ai pas dit que Jacques, il est banquier
Et que Jeanne, elle est vendeuse...
Ils économisent tous les deux leur fric
Mais quand ils rentrent du travail, il est déjà tard
Alors ils s’assoient devant la cheminée
La radio joue « la Marche des Soldats de Bois »
Et Jacques palabre...
Et Jacques palabre...

Il y a des gens qui aiment aller danser, dit-il
Et d’autres qui doivent aller travailler.
Il y a des mères vraiment diaboliques
Qui vous disent que tout est pourri.
Les femmes font semblant de s’évanouir
Les truands prennent toujours un air méchant
Seuls les enfants sont là pour rougir
Mais personne ne vivra longtemps.
Alors celui qui a un cœur
On ne pourra pas lui briser
Et celui qui joue un rôle
On ne pourra pas le siffler
Celui qui a un cœur
On ne pourra pas le briser
Et celui qui joue un rôle
On ne pourra pas lui piquer
Celui qui a un cœur...
Celui-là, il est sauvé.

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