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lundi, 28 mars 2011

Journal de l'autoprod. (n°1)

Bonjour à toutes et tous,

J'avais annoncé le premier épisode du journal, mais j'ai passé une journée à l'extérieur pour préparer la logistique du prochain spectacle vivant de votre programme préféré, qui s'appellera "Banana Show : Avec Gimick et ses Choristes"!

Je suis donc un peu à la bourre pour aborder ce premier numéro et je m'en excuse auprès de mon fidèle lectorat (plus fidèle en tous cas que l'électorat qui vient de rappeller, n'en déplaise à Coubertin, que l'essentiel est parfois de ne pas participer).

Mais consacrons nous à la question de l'autoproduction où s'impose le principe inverse de la participation tous azimuths, ceci pour illustrer la règle n°1 : l'autoproducteur est un homme (ou une femme) occupé et même débordé.

Néanmoins, passionné, et qui tient à respecter ses engagements (règles n°2 et 3), ce qui me pousse à agir derechef par ce billet tardif.

Affamé, c'est un fait! De victuailles et, ne le taisons pas, de gloriole (règle n°4).

Gloriole rimant avec mariole, ce que l'autoproducteur ne peut pas rechigner à incarner à l'occasion (règle n°5)

Afin de convaincre ses interlocuteurs peu motivés par ses projets, sans tomber bien évidemment dans les excès et passer pour un guignol (écueil n°1).

Au demeurant exténué (écueil n°2) car en matière d'autoproduction, nous le verrons dans les épisodes à suivre qui seront plus riches en analyse de fond, l'essentiel est d'être endurant (règle n°6) pour tenir la distance du projet laquelle, c'est une particularité, n'est pas déterminable à l'avance. 

C'est précisément ce qui fait la complexité et le charme de l'exercice et ce qui le différencie fondamentalement d'un marathon, pour exemple.

J'y insiste : en la matière, il n'existe aucune ligne d'arrivée autre que le succès du projet, c'est à dire, sans grandiloquence, l'auto-suffisance.

La liberté de l'autoproducteur est à ce prix (principe essentiel n°1).

A demain, chers amis,

gy pour le Programme TéléZéroJour

 


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