Que je glande!

Dans la lignée des chansons de branleurs :

Et en l'occurence sur l'air du "Que je t'aime"

Du grand "j'en jauni à l'idée" :

 

Que je glande,

Que je glande,

Que je glande,

Que je glande,

Que je glande

Et que j'aime ça...

Je percussionne

Je saxophone

Et pour survivre

Je erémise!

J'économise

Pas mon ardeur

Et ma sueur

Qui déjouline

Quand je me donne

Intégralement

A la musique

 

Que je glande

Que je glande

Que je glande...

 

A suivre.

 

Je branle...

 

N.B : à fredonner sur l'air de "je chante " de Charles Trenet, qui branlait pas mal aussi paraît-il.

 

Je branle,

Je n'arrête pas de branler

Je branle...

L'hiver, l'été !

Je branle,

C'est un travail à temps plein

Je branle...

Soir et matin !

 

Je branle,

Je branle en professionnel

Je branle, je n'ai

Pas mon pareil !

Je branle,

Du réveil au coucher,

La nuit et puis,

La nuit d'après...

 

Je branle,

Je sais qu'il ne faudrait pas

Mais je branle,

C'est plus fort que moi.

Je branle

De la Défense à Nation

Je branle sur tous les fronts !

 

Je branle,

Même quand je ne branle pas

Je branle,

C'est malgré moi...

Je branle

Désolé mais c'est un fait

Je branle,

Faut être honnête!

 

Je branle

Même au milieu de la foule

Je branle,

ça me défoule

Je branle

Avec constance et sérieux

Je branle

Qui peut faire mieux ?

 

A SUIVRE

Le Juke Box :un symbole pour la lutte des classes

Jim :

"C'est intéressant le concept du juke box,

C'est un peu l'idée du paiement préalable

Un genre de "tu paies, je joue !"

Adapté au monde du travail

ça donne un truc du genre "tu paies, je bosse !"

Pourquoi attendre la fin du mois

Pour obtenir la gratification de ses bons et loyaux services ?

Parce qu'il faut créer de la richesse avant de la redistribuer ?

Tout ça n'est que de la doctrine de capitalistes exploiteurs de main d'oeuvre.

Car le principe du travail avant rémunération correspond davantage à une logique de pouvoir :

Tant que tu n'as pas trimé, n'espère pas une thune...

Autrement dit :

On te tient comme ça par les couilles !

 

Jules:

"Allez, arrête un peu ta prose et ressers moi une petite boukha..."