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vendredi, 27 février 2009

NOUILLORQUE NOUILLORQUE

Et oui, pour ceux qui ne maîtriseraient pas du tout la langue de Shakespeare (j'expire...),

Mais qui voudrait interpréter cette sublime chanson

Qui fit la gloire de Franck SINATRA et Liza MINELLI,

Voici une présentation phonétique de ce titre qui n'en perd rien de sa superbe:

 

Start Spréding Ze Niouzes

Aïm Living Toudéy

Aïe Wouant Tou Bi E Paart Of Hit

NOUILLORQUE, NOUILLORQUE!

Viz Vagabonde Chouze

Are Longing To Stréy

Raïte Frou Ze Véri Haart of Hit

NOUILLORQUE, NOUILLORQUE,

Aïe Wouant Tou Wèke Eup In E City

Zat Deuzent Slip

End Faïnd Aïm King Of Ze Hill

Top Of Ze Hip

Vize Liteul Taonne Blouse

Are Mélting Eouais

Aïm Gonne Mec A Brinde

Niou Start Of Hit In Old NOUILLORQUE

If Aïe Quenne Méke Hit Verre

Aïlle Méke Hit Eniouèrre

Hits Eup Tou Iou

NOUILLORQUE, NOUILLORQUE,

 

Allez, chantez bien

Faut d'abord réussir à rester sérieux...

 

L'Etat voyou (suites et fin)

La suite de cette chanson, un tantinet caricaturale et parodique; en d'autres termes à prendre au second degré...

cf. le post initial du 8 mars 2007

L’Etat voyou,
Il aime le luxe
Et la bonne chair
Son train de vie,
Pharaonique,
Mon pauvre ami,
Il te coûte cher
Car pour l’entretenir,
C’est dans la logique,
Y a pas le choix,
Faut qu’il te saigne.
Pour financer
La retraite à vie
De ses ex-ministres
Les gardes du corps
Du président
De la République
Et de ses gosses
De sa gonzesse
Et de son ex.

L’Etat pique-sou,
C’est une fripouille
Qui magouille
Et qui te ponctionne,
Qui te dépouille
Et te sanctionne,
Il règlemente
Quand il a envie
Dérèglemente
Quand il a envie
Modifie la loi,
Brise le pacte social,
Dont il se branle
Comme de sa première guerre
Et il te matraque
Et il te condamne
Et il t’exploite
Sans la moindre gêne

L’Etat voyou
C’est un bandit
Organisé
Un faux justicier
Qui redistribue
Toujours aux mêmes,
Alors, planque bien tes fesses
Si tu ne veux pas
Qu’il te les prennent…
Car cet arnaqueur,
Ce « sérial taxeur »,
Lâche à tel point
Qu’il te flashe par derrière
Il récidive
Dans l’excès de pouvoir
Et l’excès de vitesse
Pour voler ton fric
En spécialiste
Voire en esthète !

Il veut des efforts
Pour son confort
Les frais de la princesse ?
Aucun souci
Il les rackette.
Cet Etat voyou,
C’est un tas de voyou
Bien propres sur eux
Mais crades dans leurs têtes
Cet Etat voyou,
Faudrait qu’on l’arrête
Et le foutre au trou
Mais comme personne
N’est habilité
Faut bien s’y coller
En ménestrel.


Final :

L'Etat voyou...
C'est une poignée d'énarques
Sans vergogne
Mais qui contrôle tout
Et c'est la France
Qui trinque sous leur règne
L'Etat voyou...
C'est une poignée d'énarques
Sans vergogne
Qui abusent en tout
Et nos enfants, ils paieront la note.
Mais quels enfants d'ailleurs au fait ?


Et même si j’exagère, peut-être un peu
Tu sais que je ne suis vraiment pas loin de la vérité
Et même si j’exagère et pas qu’un peu
Au fond, je ne suis pas très loin de la vérité…

mercredi, 25 février 2009

Suivre un cul (suites 2)

Chers audiomateurs, voici la suite de cette chanson qui n'en finit pas de finir...

Il faut dire que le sujet donne envie de s'étendre et de philosopher.

 


A croire que l’Homme, dans les poulettes,

Il préfère le croupion

Il aime aussi la poésie

Mais plus accessoirement…

Il reluque tout autant  le séant

D’une vieille peau

Que, très coupablement,

Le p’tit pot d’une ado…


Acte 4)

Mon radar me signale l’ondulation d’une bombasse

Un p’tit tour d’horizon et j’aperçois sa culasse…

Qui roule des mécaniques en arpentant le boulevard

Avec ses hémisphères qui gigotent sous son falzar !

Subite montée d’hormones, v’là ma raison qui s’égare

Je passerai bien aux actes au lieu d’écrire cette histoire

Mais si ma femme l’apprend, ça va en faire des histoires

Dans le journal local, je vois déjà les gros titres :

« Vengeance d’une femme jalouse : un homme mort écorché vif »!

Et à la lime à ongles, imaginez le supplice…

Mais pour palper un cul

Certains vont risquer leurs peaux

Pour cet instant de grâce

Qui titille la libido

Qui aiguise l’appétit

Qui réveille tant d’hardeurs

Que les toubibs déclarent

Que c’est anti-dépresseur.

Alors à quand les p’tits culs

Remboursés par la Sécu ?

Moi j’veux du cul,


J'veux du cul,


Pas de médocs,

Que du cul…