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vendredi, 06 juillet 2007

Goethe m'a niqué : je suis un con...

Allez je cède à Goethe, une dernière note à la va-vite pour fêter cette fin de semaine :

Je suis un con-
sommable,
Je suis un con-
trôlable
Je suis un con-
structible
Je suis un con-
sistant.
Mais insistant

Je suis un con-
ciliable
Je suis un con-
damnable
Je suis un con-
pétant
Mais pas content

Je suis un con-
naissable
Je suis un-con
fortable
Je suis un con-
flictuel
Pas virtuel



Je suis un con-
patible
Je suis un con-
damnable
Je suis un con-
tribuable
Jamais solvable

Je suis un con-
séquent
Je suis un con-
vraiment
Je suis un con-
damné
Je suis un con dit :
tionnel.

Goethe au secours (II) : vendredi soir

On a toujours assez de temps

Quand on en fait bon usage...

Et toc !


Goethe, c'est décidément le spécialiste de la formule qui fait mouche le vendredi soir, après une rude journée de labeur (devrais-je dire de combats ?), quand il est 18h38, qu'on a plus rien envie de rien foutre, et que, la procrastination aidant, on se convainc de n'avoir plus le temps de finir le boulot du jour avec l'idée de remettre ça au lundi matin.

He bien non, Goethe, lui, il te remet le nez dans ton caca. Bon Dieu de Goethe. S'il avait pas existé, il aurait falllu l'inventer.

Enfin, sur ce, bon week-end à tous, je me barre, car je ne vous ai pas tout dit,

De Goethe, il ya des jours, je m'en tamponne.

A lundi, Télézérojour !

J'ai ma 12 cordes qui s'ennuie.

Alors dzoing dzoing

Et Bybye.

Goethe au secours (I) : vendredi matin

Seul est digne de la vie

Celui qui, chaque jour,

Part pour elle au combat.`




(...)



Goethe, c'est le spécialiste de la formule choc pour bien commencer la journée

Surtout, le vendredi matin.

Allez, hop,

Hommes, femmes, enfants,

Au combat !

Faut en chier nom de Dieu,

On n'est pas là pour rigoler !