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vendredi, 29 juin 2007

Le soir où je suis devenu mitterrandien, post mortem

C'est à l'écoute de la rediffusion, il y a peu, d'un discours prononcé par le futur grand homme

Au congrès d'Epinay, le 13 juin 1971.

10 ans avant son sacre présidentiel.

Il s'était alors lancé dans un plaidoyer implacable contre l'argent "sale".

Un morceau d'anthologie qui a sonné assez juste à mes oreilles

Pour que j'imagine Tonton m'en souffler quelques mots de plus,

Depuis son paradis de nuages. Roses bien sûr.

 

"LE VERITABLE ENNEMI, C'EST LE MONOPOLE

TERME EXTENSIF POUR SIGNIFIER TOUTES LES PUISSANCES DE L'ARGENT :

 

L'ARGENT QUI CORROMPT,

L'ARGENT QUI  ACHETE,

L'ARGENT QUI ECRASE,

L'ARGENT QUI TUE,

L'ARGENT QUI RUINE,

L'ARGENT QUI POURRIT,

JUSQU'A LA CONSCIENCE DES HOMMES (F.M).

 

L'ARGENT QUI PARADE,

L'ARGENT QUI AGRESSE,

L'ARGENT QUI DIVISE,

L'ARGENT QUI POLLUE,

L'ARGENT QUI EXPLOITE,

L'ARGENT QUI DOMINE,

 LA PENSEE ET LE COEUR DES HOMMES

 

L'ARGENT QUI DORT

L'ARGENT QUI SPECULE

L'ARGENT QUI FRIME

QUI SE PERMET TOUT

QUI ROULE EN QUATRE-QUATRE

QUI VOLE EN JETS PRIVES

QUI AFFAME LE PEUPLE

ET FINANCE LA GUERRE SI LA GUERRE RAPPORTE (GM)

 

Allez, aux suivants, et pas de pitié contre l'argent roi.

 

 

 

 

 

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