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dimanche, 21 novembre 2010

Le "maniaco-perfectionniste" obéit à trois lois fondamentales...

La première loi privilégie la complexité sur la facilité;

En d'autres termes : pourquoi faudrait-il faire simple si l'on peut faire compliqué?

La seconde loi bannit la paresse de son cénacle;

Les partisans du moindre effort cèdent nécessairement le pas aux militants défenseurs du plus grand effort possible.

La troisième loi, qui subsume les deux premières, et les transcendent peut s'exposer ainsi : 

Le "noble labeur", seul digne de valeur pour un malade "maniaco-perfectionniste" s'affirme comme la mise en pratique de la théorie de "l'emmerdement maximum", seuil théorique jamais atteint, mais vers lequel il conviendrait de tendre en toutes hypothèses avec pour postulat qu'en dessous de ce seuil, rien ne vaut.

Le "noble labeur" constitue alors, pour la population étudiée, la récompense et la justification de sa mise en oeuvre même, à savoir la recherche de la perfection, même si chacun aura compris que la perfection n'existe  pas, ce qu'ignore précisément le "maniaco-perfectionniste"...

  C'est évidemment là l'origine de sa pathologie à laquelle nous nous proposerons prochainement de livrer, en l'état de notre science inhumaine, des pistes thérapeutiques.

Le Dr Gy , Docteur es sciences inhumaines, pour TéléZéroJour

 

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