HOMO SUR LE DOS : BOBO AU POPO...

L'autre jour, dans un café branchouille du Marais Parisien, qui flaire pas tant le marécage, je discutais potins après le récent épisode neigeux; pour dire la vérité vraie, je tchattais avec un pote via fesse bouc...

Lui qui glose sur les affres de la circulation dans la capitale : "Après Paris-Plage en été, la dernière lubie de Delanoë, c'est Paris Courchevel à Montmartre".

Moi qui répond badin : "Avec Bertrand, ça glisse toujours tranquille et sans vaseline; elle était un peu grasse quand même la neige immaculée". Déconnade, certes, à la limite de la raillerie homophobe...

Et mon pote qui me rappelle à l'ordre : "Attention! vas pas  quand même te metttre les homos sur le dos , car HOMO A DOS VAUT BOBO AU POPO!".

Et moi qui conclut : "A Paris, quoi qu'on fasse, on risque gros pour son cul".

Ah quelle école de philosophie ce fesse bouc, quand même!

Je parie que ça aurait plu aux grecs anciens,

Surtout du point de vue de la dialectique...