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jeudi, 29 décembre 2011

Ce n'est malheureusement pas le titre d'une chanson de TéléZéroJour...

Il aurait mieux valu car c'est la réalité et elle n'est pas drôle....

 

De la charcuterie aux prothèses PIP


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JEUDI 22 DECEMBRE 2011, 07:21

 

INFO E1 - Avant de fonder le n°3 de la prothèse mammaire, Jean-Claude Mas avait un autre métier.

Derrière le scandale des prothèses mammaires PIP se cache un homme, Jean-Claude Mas. Ce dernier est le fondateur de la société PIP, désormais accusée d’avoir vendu des prothèses défectueuses. Mais avant de créer sa société, qui deviendra rapidement le n°3 mondial du secteur, Jean-Claude Mas était dans un secteur très éloigné de la chirurgie esthétique : la charcuterie, selon les informations recueillies par Europe 1.

Un nouveau venu qui détonait

S’il y a un homme qui n’a pas été surpris par le scandale des prothèses PIP, c’est bien Patrick Baraf. Ce chirurgien plastique qui pratique à Paris a croisé Jean-Claude Mas à de nombreuses reprises lors de congrès médicaux. Dans les années 80, selon ce témoin, ce nouveau venu vantait haut et fort les mérites de ses prothèses dans un style offensif, n’hésitant pas à critiquer les produits des autres.

"Il était charcutier et puis"

Pourtant, Patrick Baraf a toujours refusé d’utiliser les prothèses PIP et pour cause : il se méfiait de ce fabricant venu d'un secteur pour le moins éloigné de la médecine…la charcuterie. "Il était charcutier et puis il s’est mis à faire des prothèses mammaires à Toulon. Il a monté un laboratoire. On pouvait se poser des questions sur ses compétences et ses qualités pour se lancer dans la fabrication de matériel médical", rappelle-t-il.

 

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