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samedi, 02 mai 2009

Pertes bancaire et fonds de culottes

Et pour conclure s'agissant de la déroute financière des établissements de crédit, notre excellent ami ne pouvait que remarquer avec un bel à propos qu'ici comme ailleurs, il va de soi que :

"Plus il y a de pertes, moins il y a de fonds propres".

 

Amis de la poésie, bonjour!

 

Toujours en finesse...

S'agissant de la nouvelle version de SUIVRE UN Q,

L'ami Olivier, fervent amateur du PALOUIN (en écoute sur ce blog), ne pouvait que s'écrier avec sa verve habituelle et son sens de la formule :

 

"Voilà un gros tube qui sera bientôt sur toutes les lèvres, ou (au choix) dans toutes les bouches..."


 

 

 

vendredi, 01 mai 2009

1er mai : Faîtes du travail...

C'est donc la fête des laborieux...

 

Ci-joint la nouvelle version de la song (dont vous retrouverez la maquette en post du 3 avril 2009; rubrique Chanson):

 

LABORIEUX

Laborieux!
Sans aucun talent,
Tu rames,
Et
Tu rames,
Avec les dents...
Tu ambitionnes une perfection
Que tu n'approches
Même pas dans tes rêves.
Laborieux,
Sans aucun talent,
Tu rames,
Et
Tu rames,
Mais pas comme Lilian...
Un nouveau jour se lève
Et tu te répètes
En avançant à reculons

Sans talent aucun, c’est laborieux
Sans talent aucun, c’est fatiguant
Sans talent aucun, c’est désespérant
C’est 100 % de transpiration !

Tu entrouvres une porte,
Il y a mille autres portes,
Et autant de possibles
A portée de la main.
Tu vas passer la nuit à fouiller
L’indicible...
Moi je suis fatigué,
Je me couche,
A demain !


Laborieux
Sans aucun talent
Tu rames
Et
Tu rames
A contre-courant
Tu t’entêtes
Et
Tu tempêtes
T’aurais besoin
D’un coup de pied au cul


Sans talent aucun, c’est laborieux
Sans talent aucun, c’est fatiguant
Sans talent aucun, c’est désespérant
C’est du pur jus de frustration !



Tu entrouvres une porte
Il y a mille autres portes
Et autant de possibles
A portée de la main.
Tu vas passer la nuit à sonder
L’indicible...
Moi je suis fatigué,
Je me couche,
A demain !