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mardi, 11 janvier 2011
Paris je te hais et je t'aime... (épisode 1)
C'est tellement beau Paris...
Les femmes sont si jolies...
Les chauffeurs de taxis, il nous font rire, les joyeux drilles...
Ses boulevards plein d'envies...
Ces bagnoles pleines d'ennuis...
Ces bus remplis de gens, qui sont serrés comme des sardines!
D'ailleurs, on ressemble tous à des sardines...
Des p'tites sardines qui gigotent,
Des p'tites sardines qui poireautent,
Dans un immense banc d'imbéciles.
Ces églises à la pelle,
Ces odeurs d'essence, ciel!
Mais que ça pue! Mon Dieu!
Mais que ça schlingue!
C'est pas humain!
Paris, je t'aime, pourtant,
Paris, je t'aime, franchement
Et je te hais de tout mon être!
Paris, je te hais et je t'aime...
Paris, je te hais et je t'aime...
Paris, je t'aime, Paris,
Paris je te hais et je t'aime.
(...)
12:44 | Lien permanent | Commentaires (0)
lundi, 10 janvier 2011
Le "Plus Loin" au Programme
VOILA ENFIN UN PEU DE PURE POESIE,
QUE NOTRE PROGRAMME S'ECHINE A METTRE EN MUSIQUE...
CETTE SEMAINE SUR L'ECRAN DU MySPACE :
« PLUS LOIN QUE NOUS »
jamais assez de ciels
sur les mains
jamais assez de vagues bleues
sur les ombres
jamais assez d’étoiles filantes
sur les lèvres
il n’est aucune mesure
à la mesure du monde
il n’est pas de blessure
pour oublier l’amour
seul l’infini un jour
nous aura mis en poche
un billet sans retour
sans peur et sans reproche
jamais assez de ciels
sur les mains
jamais assez de vagues bleues
sur les ombres
jamais assez d’étoiles filantes
sur les lèvres
seul l’infini un jour
nous aura mis en poche
un billet sans retour
sans peur et sans reproche
troubadours que nous sommes
partis à l’abordage
de navires inédits
et de châteaux de sable
jamais assez de ciels
sur les mains
jamais assez de vagues bleues
sur les ombres
jamais assez d’étoiles filantes
sur les lèvres
troubadours que nous sommes
partis à l’abordage
de navires inédits
et de châteaux de sable
chevaliers d’aujourd’hui
morts ou vifs qu’importe
nous aurons galopé
par tous les horizons
jamais assez de ciels
sur les mains
jamais assez de vagues bleues
sur les ombres
jamais assez d’étoiles filantes
sur les lèvres
chevaliers d’aujourd’hui
morts ou vifs qu’importe
nous aurons galopé
par tous les horizons
il n’est aucune mesure
à la mesure du monde
il n’est pas de blessure
pour oublier l’amour
jamais assez de ciels
sur les mains
jamais assez de vagues bleues
sur les ombres
jamais assez d’étoiles filantes
sur les lèvres
l’impatience est en nous
comme un rêve éperdu
qui dure plus que les nuits
et va plus loin que nous
et va plus loin que nous
(Andrée Velter, inédit )
14:51 | Lien permanent | Commentaires (0)
lundi, 03 janvier 2011
Merci à l'ange sans aile et sa béhème...
Et oui, ce soir, de la nuit noire, j'ai vu surgir un ange gardien
Pour me tirer du pétrin :
Il s'est pointé sans crier gare au volant de son char ailé,
Qui n'était autre qu'une BMW...
Ayant rétabli le contact, afin d'éviter le désastre, il est reparti sur son char
Avec son téléphone high-tech.
Et, comme message subliminal, j'ai entendu le chant des astres,
Peut être un air soufflé des Dieux :
"Les ailes ne font pas l'ange, mon bon,
Le coeur détient la vérité".
Et c'est alors que dans la nuit, qui n'était plus tout à fait noire,
J'ai entrevu une lumière et que j'ai entendu le bruit
D'un attelage rutilant, chevaux et cuivres pétaradant :
Une décoiffante dépanneuse
Venue me tirer du pétrin.
23:30 | Lien permanent | Commentaires (0)