mardi, 04 novembre 2008
A quand la thèse en footebowl ?
Mes bons amis mateurs,
J'espère que vous êtes en forme. Car ce soir il y a une grande soirée de sport, à la télé...ouh!ouh! pas beau ! mais bon, vous ne résisterez peut-être pas à la tentation de regarder des mecs surpayés courir derrère un ballon.
Tout cela me fait penser que je dois rappeller certains à leurs obligations.
Je crois me souvenir en effet qu'un excellent ami, non moins excellent observateur de l'actualité sportive, m'avait laissé entendre qu'il envisageait de faire publier, via le canal TZJ, une thèse au sujet du footebowl aux fins d'analyser le parallélisme de l'organisation d'une équipe sur un terrain et du fonctionnement régnant au sein d'une entreprise.
Ainsi, et en espérant ne pas trahir la pensée de l'auteur, l'idée générale de cette thèse tendrait à démontrer qu'un match de footebowl serait l'archétype de la compétition régissant la vie économique réelle, de quoi se déduirait, au-delà des simples apparences d'un sport à la con, l'intérêt généralisé du genre humain pour ledit sport.
En bref, et au détour d'une conversation informelle, l'auteur annoncé relevait avec pertinence que les positionnements des joueurs sur le terrain figureraient les différents rôles occupés dans l'entreprise pour assurer sa pérennité. Et l'auteur de comparer ainsi les attaquants aux équipes commerciales, les milieux aux ingénieurs, techniciens et marketeurs, et les défenseurs aux personnels administratifs (secrétaires, comptables et autres). Il conviendrait évidemment que l'auteur affine sa thèse et nous précise ce que devient le gardien de but dans le monde de l'entreprise. Est-ce le PDG, l'expert-comptable ? Et, inversément, quelles positions tiennent les ouvriers. Les classe-t-on milieux offensifs ou défensifs ?
Bref, nous attendons toujours sa prose pour nous éclairer et faire profiter nos lecteurs de ses lumières. Notons d'ailleurs que le futur auteur annonçait également une non moins passionnante étude consacrée à Zinédine Zidane délivrant une explication psychanalytique fort bien sentie de son coup de tête en finale de la dernière Coupe de Monde. Je ne dévoile encore rien à ce sujet.
Allez, mon gars, de retour des US (car Monsieur voyage !), TZJ t'attends au détour du poteau de corner...
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lundi, 03 novembre 2008
La réaction féminine à SUIVRE UN CUL
hello, mes petits mateurs,
TZJ publie ici une réaction enregistrée sur un site féminin (LADIES ROOM) à la question de l'attraction des culs qui semble accréditer la thèse de P. BOURDIEU considérant que le principe de domination masculine est d'autant plus structurant dans les relations sociales qu'il est intégré sciemment par les femmes elles-mêmes. Enfin, le débat est vaste et restons-en pour l'heure au côté humoristique...
Texte de l'article de LADIES ROOM :
La Fidélité ? Mon cul !
Cela fait onze ans que je suis mariée. Comment cela est-il possible à notre époque ? Sachant que chaque année en France 250 000 couples unissent leurs destinées mais que, dans le même temps, 180 000 divorcent, effectivement, le challenge est difficile à remporter.
Rester en couple n’est pas chose aisée. Alors rester en couple sans que Monsieur batifole ou que Madame s’envoie en l’air, relève là du parcours du combattant. Une chose est sûre, personne, absolument personne n’est à l’abri d’une infidélité de son conjoint, et ce, même au bout de quarante ans de mariage.
Un couple, ça se travaille.
Une solution (notez nien que je ne dis pas LA solution, ce serait trop simple):
Mesdames, investissez dans votre cul !
Un gros cul à la maison n’a jamais aidé un homme à être fidèle. Certes, un joli petit cul n’empêchera pas forcément Monsieur d’aller voir ailleurs, mais il en aura peut-être aussi beaucoup moins envie. Faites en sorte qu’il ne soit pas tenté par d’autres fessiers que le vôtre.
Quelques efforts sont alors nécessaires:
-
Ne vous goinfrez pas (pas facile de ne pas succomber aux oeufs Kinder des enfants quand ceux-ci sont à l’école);
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Montez trois fois par jour les étages à pied avec un enfant dans chaque bras plus les courses;
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Marchez en talons aiguilles;
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Faites du sport quatre jours par semaine et mangez de l’herbe si vos fesses sont vraiment boursouflées par la cellulite. Et encore, je ne vous garantis pas de résultat. Pensez à la lipposucion si vous en avez les moyens, faites un voeux et priez si vous êtes fauchée.
Ca a marché ? Formidable. Maintenant, adoptez une démarche chaloupée dans votre nouveau slim, haut perchée sur des talons de huit centimètres, ça galbe la fesse. Monsieur ne verra alors plus que vous, ou plutôt que lui, votre cul qui lui fait de l’oeil. Oups ! Ces deux mains qui se plaquent violemment sur votre auguste postérieur et le malaxent ? C’est normal, vous venez de gagner votre pari.
Mais si, malgré tous vos efforts, Monsieur ne remarque pas vos jolies fesses, présentez votre cul tout neuf de préférence à ses amis ou à ses collègues qui, eux, sauront l’apprécier à sa juste valeur. Pavanez-vous, cela énervera terriblement Monsieur qui n’aura alors de cesse de le garder pour lui tout seul. On ne chasse pas sur les terres de Monsieur ! Il sera tellement pris par sa nouvelle activité (vous/le garder), qu’il dédaignera le fessier de sa blonde collègue, le trouvant soudainement trop gros, trop mou, bref, sans intérêt en comparaison avec le vôtre, tout rond, tout ferme, tout mignon et, qui plus est, à portée de main.
Mais attention, veillez à ne pas relâcher votre vigilance, un nouveau petit cul (parfois même plus jeune, ce sont les pires ceux-là) peut arriver au bureau de Monsieur, alors serrez les fesses.
***
Drôle et pas mal écrit mais édifiant, non ?
TZJ
15:12 Publié dans AU PROGRAMME DU RESTE DU MONDE | Lien permanent | Commentaires (0)
mercredi, 29 octobre 2008
Les Malins sont là...
(adaptation du texte d’Emile ZOLA, GERMINAL)
I) Des malins sont toujours là pour vous promettre
Que ça peut s’arranger,
Si seulement on s’en donne la peine
Alors on se monte la tête…
Des malins sont toujours là pour vous promettre
Que ça peut s’arranger,
Si seulement on s’en donne la peine
Alors on se monte la tête…
On souffre tellement de ce qui existe
Qu’on demande ce qui n’existe pas,
On souffre tellement de ce qui existe
Qu’on rêve à ce qui n’existe pas,
Les malins eux sont toujours là,
Les malins sont toujours là...
II) Moi, je révassais déjà comme une bête
Je voyais une vie de bonne amitié
Avec tout le monde…
J’étais parti en l’air ma parole, dans les nuages
Et on se casse les reins en retombant
Dans sa crotte !
Car ce n’était pas vrai…
Il n’y avait rien là-bas
Des choses qu’on s’imaginait voir
Ce qu’il y avait, c’était encore de la misère
De la misère tant qu’on en veut,
Et des coups de fusil
Par-dessus le marché,
Et des coups de fusil
Par-dessus le marché !
III) Bang!
Bang !
Un homme tombe,
Puis, deux, puis trois.
Les malins eux sont encore là
Les malins sont toujours là !
Des malins sont toujours là pour vous promettre
Que ça peut s’arranger,
Si seulement on s’en donne la peine…
Ne les écoutez pas, non
Ne les écoutez pas,
Ne les écoutez pas, non
Ne les écoutez pas.
12:31 Publié dans AU PROGRAMME DU RESTE DU MONDE | Lien permanent | Commentaires (0)