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vendredi, 20 juillet 2007

Repérer la bonne poire

La bonne poire

Qui peut lui donner l'aumône

Le mendiant la repère direct.

13:45 Publié dans JACTANCES | Lien permanent | Commentaires (0)

Ne tombez pas dans le panneau pas drôle

Sur les hauts de Puteaux,

Un panneau routier vous prévient :

Attention travaux !

Rue des Fusillés de la Résistance.

Circulation difficile.

Merci bien,

Mais on s'en doutait un peu quand même.

 

 

 

13:40 Publié dans JACTANCES | Lien permanent | Commentaires (0)

mardi, 17 juillet 2007

Chaque chose en son temps

Dicton :

Chaque chose en son temps

Et les vaches seront bien gardées.

Le bec dans l'eau

Dicton :  

Tel épris,

Qui croyait prendre

Se retrouve le bec dans l'eau.

L'avocat stupéfiant

A la lueur blaffarde d'un néon de cabinet de juge d'instruction,

A la lueur vacillante de l'éclairage d'un tribunal de banlieue,

Aux confins de la zone industrielle,

Dans les dédales d'une maison d'arrêt,

Dans les méandres de la justice pénale,

A la frontière du droit et du non-droit,

Un avocat stupéfiant cherche sa lumière.

dimanche, 15 juillet 2007

Intoxiqué à la came

C'était un cinéaste

Dépendant de la came,

De la came,

De la caméra.

Il pensait à la came

A la came

A la caméra.

Il vivait pour sa came,

Pour sa came,

Pour sa caméra.

Il tournait

Retournait

Autour de ce choix.

Dans sa tête

Sans arrêt

Il passait des films.

Des séquences

Des images

Des vidéos clips.

Il vivait sur un fil

En filmant tout ça

Toute cette vie

Qui filait

Devant l’objectif

Toute cette vie

Défilait

Et s’enregistrait

Dans sa came,

Dans sa came

Dans la caméra.

Dans la mémoire

Numérique

De sa caméra.

(...)

Suivre un cul...

J'ai vu passer la petite de l'auto-école

J'ai vu passer la coiffeuse, tu sais bien, la mignonne

J'ai vu passer ma voisine au bras d'un nouveau mec

Mon regard plein d'ardeur s'est arrêté sur leurs croupes

J'ai zappé leurs visages, sans la moindre amertume,

J'ai zappé leurs nibards, une fois n'est pas coutume

J'ai fait la mise au point juste au creux de leurs reins

J'ai fait la mise au point sur leur cambrure impec...

Je parle évidemment de celle des filles, pas du mec !

 

Suivre un cul, suivre un cul,

Suivre un cul, suivre un cul,

J'contrôle plus mon regard

J'contrôle plus mon regard.

 

 

 

 

vendredi, 06 juillet 2007

Goethe m'a niqué : je suis un con...

Allez je cède à Goethe, une dernière note à la va-vite pour fêter cette fin de semaine :

Je suis un con-
sommable,
Je suis un con-
trôlable
Je suis un con-
structible
Je suis un con-
sistant.
Mais insistant

Je suis un con-
ciliable
Je suis un con-
damnable
Je suis un con-
pétant
Mais pas content

Je suis un con-
naissable
Je suis un-con
fortable
Je suis un con-
flictuel
Pas virtuel



Je suis un con-
patible
Je suis un con-
damnable
Je suis un con-
tribuable
Jamais solvable

Je suis un con-
séquent
Je suis un con-
vraiment
Je suis un con-
damné
Je suis un con dit :
tionnel.

Goethe au secours (II) : vendredi soir

On a toujours assez de temps

Quand on en fait bon usage...

Et toc !


Goethe, c'est décidément le spécialiste de la formule qui fait mouche le vendredi soir, après une rude journée de labeur (devrais-je dire de combats ?), quand il est 18h38, qu'on a plus rien envie de rien foutre, et que, la procrastination aidant, on se convainc de n'avoir plus le temps de finir le boulot du jour avec l'idée de remettre ça au lundi matin.

He bien non, Goethe, lui, il te remet le nez dans ton caca. Bon Dieu de Goethe. S'il avait pas existé, il aurait falllu l'inventer.

Enfin, sur ce, bon week-end à tous, je me barre, car je ne vous ai pas tout dit,

De Goethe, il ya des jours, je m'en tamponne.

A lundi, Télézérojour !

J'ai ma 12 cordes qui s'ennuie.

Alors dzoing dzoing

Et Bybye.

Goethe au secours (I) : vendredi matin

Seul est digne de la vie

Celui qui, chaque jour,

Part pour elle au combat.`




(...)



Goethe, c'est le spécialiste de la formule choc pour bien commencer la journée

Surtout, le vendredi matin.

Allez, hop,

Hommes, femmes, enfants,

Au combat !

Faut en chier nom de Dieu,

On n'est pas là pour rigoler !