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jeudi, 28 août 2008

Tous les matins (acte III)

 

(cf. épisodes 1 et 2)

 

Depuis, donc,

Je ne me fais plus aucune bile

Tous les matins, je me réveille

En m'extirpant de ma poubelle

Et puis, après je vais chanter

Pour récolter de quoi bouffer

Parce qu'il faut bien,

Tous les matins,

Parce qu'il faut bien,

Bouffer tous les matins

Parce qu'il faut bien,

Tous les matins,

Parce qu'il faut bien

Bouffer tous les matins...

 

(la suite au prochain épisode sur TZJ le canal qui vous préserve de la TV)

LES HOMMES-FOURMIS

 

Hello, la compagnie,

 

Dans le cadre de la grille des programmes de TZJ pour la rentrée, une grande saga baptisée : PARIS-BANLIEUE (songs of the last century).

 

Il s'agit d'une collection de chansons thématiques (une petite vingtaine au total) qui couvrira la saison 2008-2009

 

Elles seront postées dans le désordre, au fur et à mesure de leur mise en maquette,

 

La première pour ouvrir le bal : LES HOMMES-FOURMIS.

 

Heure de diffusion prévue : cette am à partir de 15h00.

 

A bientôt pour de nouvelles aventures non télévisuelles,

 

gy

 

mercredi, 27 août 2008

Tous les matins (acte II)

cf. premier épisode

 

Depuis, donc,

La vie m'impose

Son rythme fou qui m'indispose

Tous les matins...

Se réveiller

Et au saut du lit,

S'habiller,

Sans même avoir bu un café

La tête encore dans le pâté

Comme tous les matins,

Comme tous les matins,

Comme tous les matins,

De ma vie.


Mais comment faire pour se défaire

Des habitudes qui nous enserrent ?

Et nous empêchent de faire ce que l'on veut

Surtout quand on ne sait pas ce que l'on veut...


Mais comment faire pour se défaire

Des habitudes où l'on s'enferrent ?

Et qui nous empêchent de faire ce que l'on veut

Maintenant que je sais enfin ce que je veux

 

A présent, je voudrais glander

Tous les matins, pouvoir chanter

Chanter les choses que personne n'ose

Avec des mots gais ou moroses

Chanter les choses que nul n'oserait

Dans les services hiérarchisés

D'une grosse société

D'une grosse société

Et comme je l'ai fait

J'ai été viré !

 

Faute grave, les salauds

Pas d'indemnité,

Et plus de chômage, ni de rmi

Alors depuis...


(la suite au prochain épisode sur TZJ, le canal qui vous préserve de la TV)

mardi, 26 août 2008

Tous les matins (acte I)

Tous les matins,

La vie m'impose son rythme lent

Qui m'indispose

Tous les matins,

Je reste au lit à flemmarder

Jusqu'à midi

Et puis, je gratouille un peu la guitare

En attendant la prochaine nuit

Pour me coucher encore plus tard

Comme tous les matins,

Comme tous les matins,

Comme tous les matins,

De ma vie.

 

Mais comment faire pour se défaire

Des habitudes qui nous enserrent ?

Et nous empêchent de faire ce que l'on veut

Surtout quand on ne sait pas trop ce que l'on veut

 

Moi,

J'aimerais bien aller bosser, sans rire !

Tous les matins, aller jacter, sans rire !

Avec des collègues sympathiques (rires)

Au sein du service informatique (rires)

D'une grosse société

D'une grosse société

Et un jour enfin, c'est arrivé...

 

Depuis...

 

(la suite au prochaine épisode, sur TZJ le canal qui vous détourne de la TV).

 

vendredi, 22 août 2008

Les Hommes-Fourmis (acte I)

 

C'est ici que commence la ville,

Sur le bitume, au milieu des champs...

Loin du coeur de la ville,

L'artère routière est déjà sous pression.

 

Dans la cohue, tout parait tranquille

Il règne une sorte de résignation

Mais la tension reste extrème

Au coeur même du bouchon.

 

Les hommes sont fatigués

Les femmes sont énervées

Bloqués sur l'autoroute,

Pares-chocs contre pares-chocs,

Gagnant mètres après mètres...

 

Ils écoutent de la musique

A l'abri de leurs bulles en verre,

Les hommes et les femmes dans leurs caissons de fer

se dirigent vers la grande fourmilière

Vers la ville,

Vers la ville,

Vers la ville,

 

Comme des hommes-fourmis

Sur la route qui fourmille de vie...

Comme des hommes-fourmis

Laborieux et soumis...

Ils voyagent en solitaire

Lors des trajets pendulaires

Du travail à leurs logis

Tous les soirs ils retournent au nid

 

Comme des hommes-fourmis

Sur la route qui fourmille...

Comme des hommes-fourmis

Quand ils roulent au ralenti...

Comme des hommes-fourmis

Qui se grouillent vers la ville

Qui se grouillent

Et qui grouillent dans la ville,

Comme des hommes-fourmis...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

mercredi, 13 août 2008

Suivre un cul (suites)

nota : Dans le prolongement du regard initial (post du 15/7)...

 


Je mate, je mate à mort, je n’arrête plus de mater

Malgré tous mes efforts, je ne peux pas résister

Mon regard est têtu, il s’entête, oui, il s’entête

Car rien ne l’attire plus que la forme d’une paire de fesses…


Quelle que soit la donzelle, quel que soit le fessier

Qu’il soit gras ou gracile, fuselé, étriqué,

Bien moulé dans un jean, complètement enserré,

Frétillant sous une jupe, en parfaite liberté,

En rond d’bosse dans un short, musclé, le genre sculpture grecque

Ou débordant de graisse, dans le style éléphantesque…

Les pastèques d’une bourgeoise dans un tailleur de grande classe,

Produisent autant d’effet que les nèfles d’une pétasse

Arborant sans ambages son string et ses tatouages,



REF 2 :



Je ne suis pas difficile,

Je suis tout juste obsédé

A guetter les  p’tits culs

Qui se promènent sous mon nez

Je sais que c’est cul cul,

Mais que veux-tu, c’est l’instinct,

Je sais que c’est cul-cul

Mais c’est l’instinct, j’y peux rien...


 

samedi, 09 août 2008

Bricolages...

Le travail artistique ce n'est pas plus dur finalement que le bricolage.

Dans les deux cas, nous sommes face à une course d'endurance,

Sans la course.

Ouais, enfin, je me comprends...

 

 

dimanche, 03 août 2008

Rêveur ?

Allez, je te l'accorde,

Je ne suis qu'un rêveur.

Mais le rêve n'est il pas l'avenir

Que l'on crée ?

Le futur qu'on se donne ?

Si je suis un rêveur,

Je suis le rêveur au service

D'un rêve en marche

En pensée et en actes.