« 2008-07 | Page d'accueil
| 2008-09 »
jeudi, 28 août 2008
Tous les matins (acte III)
(cf. épisodes 1 et 2)
Depuis, donc,
Je ne me fais plus aucune bile
Tous les matins, je me réveille
En m'extirpant de ma poubelle
Et puis, après je vais chanter
Pour récolter de quoi bouffer
Parce qu'il faut bien,
Tous les matins,
Parce qu'il faut bien,
Bouffer tous les matins
Parce qu'il faut bien,
Tous les matins,
Parce qu'il faut bien
Bouffer tous les matins...
(la suite au prochain épisode sur TZJ le canal qui vous préserve de la TV)
12:43 Publié dans AU PROGRAMME DE TZJ | Lien permanent | Commentaires (0)
LES HOMMES-FOURMIS
Hello, la compagnie,
Dans le cadre de la grille des programmes de TZJ pour la rentrée, une grande saga baptisée : PARIS-BANLIEUE (songs of the last century).
Il s'agit d'une collection de chansons thématiques (une petite vingtaine au total) qui couvrira la saison 2008-2009
Elles seront postées dans le désordre, au fur et à mesure de leur mise en maquette,
La première pour ouvrir le bal : LES HOMMES-FOURMIS.
Heure de diffusion prévue : cette am à partir de 15h00.
A bientôt pour de nouvelles aventures non télévisuelles,
gy
11:14 Publié dans AU PROGRAMME DE TZJ | Lien permanent | Commentaires (0)
mercredi, 27 août 2008
Tous les matins (acte II)
cf. premier épisode
Depuis, donc,
La vie m'impose
Son rythme fou qui m'indispose
Tous les matins...
Se réveiller
Et au saut du lit,
S'habiller,
Sans même avoir bu un café
La tête encore dans le pâté
Comme tous les matins,
Comme tous les matins,
Comme tous les matins,
De ma vie.
Mais comment faire pour se défaire
Des habitudes qui nous enserrent ?
Et nous empêchent de faire ce que l'on veut
Surtout quand on ne sait pas ce que l'on veut...
Mais comment faire pour se défaire
Des habitudes où l'on s'enferrent ?
Et qui nous empêchent de faire ce que l'on veut
Maintenant que je sais enfin ce que je veux
A présent, je voudrais glander
Tous les matins, pouvoir chanter
Chanter les choses que personne n'ose
Avec des mots gais ou moroses
Chanter les choses que nul n'oserait
Dans les services hiérarchisés
D'une grosse société
D'une grosse société
Et comme je l'ai fait
J'ai été viré !
Faute grave, les salauds
Pas d'indemnité,
Et plus de chômage, ni de rmi
Alors depuis...
(la suite au prochain épisode sur TZJ, le canal qui vous préserve de la TV)
12:15 Publié dans AU PROGRAMME DE TZJ | Lien permanent | Commentaires (0)
mardi, 26 août 2008
Tous les matins (acte I)
Tous les matins,
La vie m'impose son rythme lent
Qui m'indispose
Tous les matins,
Je reste au lit à flemmarder
Jusqu'à midi
Et puis, je gratouille un peu la guitare
En attendant la prochaine nuit
Pour me coucher encore plus tard
Comme tous les matins,
Comme tous les matins,
Comme tous les matins,
De ma vie.
Mais comment faire pour se défaire
Des habitudes qui nous enserrent ?
Et nous empêchent de faire ce que l'on veut
Surtout quand on ne sait pas trop ce que l'on veut
Moi,
J'aimerais bien aller bosser, sans rire !
Tous les matins, aller jacter, sans rire !
Avec des collègues sympathiques (rires)
Au sein du service informatique (rires)
D'une grosse société
D'une grosse société
Et un jour enfin, c'est arrivé...
Depuis...
(la suite au prochaine épisode, sur TZJ le canal qui vous détourne de la TV).
16:56 Publié dans AU PROGRAMME DE TZJ | Lien permanent | Commentaires (0)
vendredi, 22 août 2008
Les Hommes-Fourmis (acte I)
C'est ici que commence la ville,
Sur le bitume, au milieu des champs...
Loin du coeur de la ville,
L'artère routière est déjà sous pression.
Dans la cohue, tout parait tranquille
Il règne une sorte de résignation
Mais la tension reste extrème
Au coeur même du bouchon.
Les hommes sont fatigués
Les femmes sont énervées
Bloqués sur l'autoroute,
Pares-chocs contre pares-chocs,
Gagnant mètres après mètres...
Ils écoutent de la musique
A l'abri de leurs bulles en verre,
Les hommes et les femmes dans leurs caissons de fer
se dirigent vers la grande fourmilière
Vers la ville,
Vers la ville,
Vers la ville,
Comme des hommes-fourmis
Sur la route qui fourmille de vie...
Comme des hommes-fourmis
Laborieux et soumis...
Ils voyagent en solitaire
Lors des trajets pendulaires
Du travail à leurs logis
Tous les soirs ils retournent au nid
Comme des hommes-fourmis
Sur la route qui fourmille...
Comme des hommes-fourmis
Quand ils roulent au ralenti...
Comme des hommes-fourmis
Qui se grouillent vers la ville
Qui se grouillent
Et qui grouillent dans la ville,
Comme des hommes-fourmis...
22:55 Publié dans AU PROGRAMME DE TZJ | Lien permanent | Commentaires (0)
mercredi, 13 août 2008
Suivre un cul (suites)
nota : Dans le prolongement du regard initial (post du 15/7)...
Je mate, je mate à mort, je n’arrête plus de mater
Malgré tous mes efforts, je ne peux pas résister
Mon regard est têtu, il s’entête, oui, il s’entête
Car rien ne l’attire plus que la forme d’une paire de fesses…
Quelle que soit la donzelle, quel que soit le fessier
Qu’il soit gras ou gracile, fuselé, étriqué,
Bien moulé dans un jean, complètement enserré,
Frétillant sous une jupe, en parfaite liberté,
En rond d’bosse dans un short, musclé, le genre sculpture grecque
Ou débordant de graisse, dans le style éléphantesque…
Les pastèques d’une bourgeoise dans un tailleur de grande classe,
Produisent autant d’effet que les nèfles d’une pétasse
Arborant sans ambages son string et ses tatouages,
REF 2 :
Je ne suis pas difficile,
Je suis tout juste obsédé
A guetter les p’tits culs
Qui se promènent sous mon nez
Je sais que c’est cul cul,
Mais que veux-tu, c’est l’instinct,
Je sais que c’est cul-cul
Mais c’est l’instinct, j’y peux rien...
11:39 | Lien permanent | Commentaires (0)
samedi, 09 août 2008
Bricolages...
Le travail artistique ce n'est pas plus dur finalement que le bricolage.
Dans les deux cas, nous sommes face à une course d'endurance,
Sans la course.
Ouais, enfin, je me comprends...
21:11 Publié dans ACTION POETE | Lien permanent | Commentaires (0)
dimanche, 03 août 2008
Rêveur ?
Allez, je te l'accorde,
Je ne suis qu'un rêveur.
Mais le rêve n'est il pas l'avenir
Que l'on crée ?
Le futur qu'on se donne ?
Si je suis un rêveur,
Je suis le rêveur au service
D'un rêve en marche
En pensée et en actes.
01:03 Publié dans ACTION POETE | Lien permanent | Commentaires (0)