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vendredi, 21 janvier 2011
Marchand de caillasses...
Oui, je mens,
C'est juste pour t'endormir
Mais suis-je le marchand de sable
Ou bien le marchand de caillasses?
Qui vient réveiller ta conscience
Avant que tu ne tapes le mur.
Si je mens,
C'est juste pour t'endormir
Mais suis-je le marchand de sable
Ou bien le marchand de caillasses?
Qui vient réveiller ta conscience
Avant que tu ne tapes le mur.
12:42 | Lien permanent | Commentaires (0)
Oui, je mens...
Et c'est pour t'endormir,
Car je suis le marchand de sable,
Qui ment, mais pas pour le plaisir,
En racontant de belles histoires
Je veux vraiment que tu t'endormes
Car tu sais la vie, mon bonhomme,
N'est pas un conte pour les enfants
La fin du film, on l'interdit,
Aux minots de moins de douze ans.
12:28 | Lien permanent | Commentaires (0)
Marchand de sable...
Toute la beauté du monde,
Tu l'apprivoiseras,
Et tout ce temps qui passe,
Tu le captureras,
Si tu refuses les mensonges
Que te tend l'existence
Si tu résistes aux mensonges
En t'armant de patience,
Tu deviendras un homme
Et encore mieux que ça.
Tu deviendras un prince
Et encore mieux que ça.
Tu deviendras un roi
Et encore mieux que ça.
Tu seras président,
Et encore mieux que ça.
Tu deviendras un ange
Mon gars...
12:15 | Lien permanent | Commentaires (0)
jeudi, 20 janvier 2011
Les PROD. SOUTERRAINES à la rescousse...
Oyez, oyez!
Gentes dames et gentils damoiseaux...
Avis à la population et aux mateurs réguliers de notre Programme!
Comme vous le savez , l'heure de l'épreuve du lancement de disques approche.
Les préparatifs physico-tactiques sont donc à leur paroxisme et précisément,
De nouveaux partenaires rejoignent le projet pour soutenir l'effort collectif.
Bienvenu donc aux amis des "Prod. Souterraines" qui s'occuperont du développement scénique du projet "VENUS TOUTE NUE".
Et oui, VENUS se balladera en 2011 sur les scènes de France, dévoilant ici et là sa plastique affriolante.
Normal car...
2011 : ANNEE DE LA GONZE!
A très vite pour des news fraîches.
18:29 | Lien permanent | Commentaires (0)
lundi, 17 janvier 2011
Vénus si près...
Hello, amis du Paloin et du Plus loin, si près de nos coeurs. Le travail avance dans les Studios Putox Universal et dans les Studios de la rue Saint Mort...Nous y polissons la statue callypige qui sortira du bain pop rock de la rigolade un peu avant le début du printemps, si tout se passe comme prévu.Vous savez comment sont les femmes pour sortir du bain, pas plus vite que pour sortir d'une salle de bains...Mais, au cas présent, Vénus n'aura pas le choix, il faudra bien qu'elle finisse par exhiber ses atttributs et plus spécialement ses fesses, qu'elle a si joliment faites. Ce serait péché de garder tant de splendeur pour elle et son miroir. Pour le moment, son bain moussant se prolonge et de valeureux artisans s'affairent auprès d'elle, comblant tous ses désirs, soignant ses formes, ciselant ses courbes. MesserSchmitt, bien sûr, et votre serviteur...Profites en bien Vénus, ton heure approche!
A bientôt pour la suite des aventures vénusiennes.
22:15 | Lien permanent | Commentaires (0)
vendredi, 14 janvier 2011
Le "PLUS LOIN" si près...tout près...ici
Hello, ami(e)s du Programme anti-télévisuel...
Voilà donc pour vous une émission sonore toute nouvelle,
A retrouver dès à présent dans notre espace musical (myspace.com/telezerojour).
Il s'agit d'un poème chanté...dans le cadre du printemps des powètes.
L'auteur du texte est André VELTER.
Un bon exercice de prosodie pour TéléZéroJour,
Après "Toi & Moi" l'an dernier en collaboration avec MesserSchmitt.
Profitez bien de votre we, en brisant les chaînes de votre télévision.
Et à bientôt pour la suite des aventures...
20:13 | Lien permanent | Commentaires (0)
mardi, 11 janvier 2011
Paris je te hais et je t'aime... (épisode 1)
C'est tellement beau Paris...
Les femmes sont si jolies...
Les chauffeurs de taxis, il nous font rire, les joyeux drilles...
Ses boulevards plein d'envies...
Ces bagnoles pleines d'ennuis...
Ces bus remplis de gens, qui sont serrés comme des sardines!
D'ailleurs, on ressemble tous à des sardines...
Des p'tites sardines qui gigotent,
Des p'tites sardines qui poireautent,
Dans un immense banc d'imbéciles.
Ces églises à la pelle,
Ces odeurs d'essence, ciel!
Mais que ça pue! Mon Dieu!
Mais que ça schlingue!
C'est pas humain!
Paris, je t'aime, pourtant,
Paris, je t'aime, franchement
Et je te hais de tout mon être!
Paris, je te hais et je t'aime...
Paris, je te hais et je t'aime...
Paris, je t'aime, Paris,
Paris je te hais et je t'aime.
(...)
12:44 | Lien permanent | Commentaires (0)
lundi, 10 janvier 2011
Le "Plus Loin" au Programme
VOILA ENFIN UN PEU DE PURE POESIE,
QUE NOTRE PROGRAMME S'ECHINE A METTRE EN MUSIQUE...
CETTE SEMAINE SUR L'ECRAN DU MySPACE :
« PLUS LOIN QUE NOUS »
jamais assez de ciels
sur les mains
jamais assez de vagues bleues
sur les ombres
jamais assez d’étoiles filantes
sur les lèvres
il n’est aucune mesure
à la mesure du monde
il n’est pas de blessure
pour oublier l’amour
seul l’infini un jour
nous aura mis en poche
un billet sans retour
sans peur et sans reproche
jamais assez de ciels
sur les mains
jamais assez de vagues bleues
sur les ombres
jamais assez d’étoiles filantes
sur les lèvres
seul l’infini un jour
nous aura mis en poche
un billet sans retour
sans peur et sans reproche
troubadours que nous sommes
partis à l’abordage
de navires inédits
et de châteaux de sable
jamais assez de ciels
sur les mains
jamais assez de vagues bleues
sur les ombres
jamais assez d’étoiles filantes
sur les lèvres
troubadours que nous sommes
partis à l’abordage
de navires inédits
et de châteaux de sable
chevaliers d’aujourd’hui
morts ou vifs qu’importe
nous aurons galopé
par tous les horizons
jamais assez de ciels
sur les mains
jamais assez de vagues bleues
sur les ombres
jamais assez d’étoiles filantes
sur les lèvres
chevaliers d’aujourd’hui
morts ou vifs qu’importe
nous aurons galopé
par tous les horizons
il n’est aucune mesure
à la mesure du monde
il n’est pas de blessure
pour oublier l’amour
jamais assez de ciels
sur les mains
jamais assez de vagues bleues
sur les ombres
jamais assez d’étoiles filantes
sur les lèvres
l’impatience est en nous
comme un rêve éperdu
qui dure plus que les nuits
et va plus loin que nous
et va plus loin que nous
(Andrée Velter, inédit )
14:51 | Lien permanent | Commentaires (0)
lundi, 03 janvier 2011
Merci à l'ange sans aile et sa béhème...
Et oui, ce soir, de la nuit noire, j'ai vu surgir un ange gardien
Pour me tirer du pétrin :
Il s'est pointé sans crier gare au volant de son char ailé,
Qui n'était autre qu'une BMW...
Ayant rétabli le contact, afin d'éviter le désastre, il est reparti sur son char
Avec son téléphone high-tech.
Et, comme message subliminal, j'ai entendu le chant des astres,
Peut être un air soufflé des Dieux :
"Les ailes ne font pas l'ange, mon bon,
Le coeur détient la vérité".
Et c'est alors que dans la nuit, qui n'était plus tout à fait noire,
J'ai entrevu une lumière et que j'ai entendu le bruit
D'un attelage rutilant, chevaux et cuivres pétaradant :
Une décoiffante dépanneuse
Venue me tirer du pétrin.
23:30 | Lien permanent | Commentaires (0)
Au plus près du "Plus loin"...
Chers ami(e)s toujours plus nombreux sur ce canal !
Si vous voulez vous rapprochez du "Plus Loin",
Veuillez aller faire un tour cette semaine dans l'Espace musical de notre Programme...
Via MySpace! En un seul clic vous voyagerez au travers la poésie du nouveau Printemps des Powètes.
Nous fêterons ainsi ensemble le passage à l'ère du 2.0.1.1.
A très vite et toujours plus loin!
gy pour TzJ
22:48 | Lien permanent | Commentaires (0)