lundi, 27 octobre 2008
L'Etat voyou (le retour)
L'Etat voyou...
Il veut ta sueur,
Il veut tes larmes,
Il veut ton flouze,
Pour te tenir
En esclavage.
L'Etat voyou...
Il n'a pas besoin
De faire des braquages.
Il lêve l'impôt
Grâce à la loi
Qui est son arme.
L'Etat voyou...
Il pille la France
Sans états d'âmes
Il sévit partout
Avec ses flics
Avec son fisc
Et tous les sbires
Qui sont à sa solde
Car l'Etat voyou...
Il paie une foule
De mercenaires
Et ces nantis
De fonctionnaires
Il leur faut des sous
Alors pour renflouer les caisses
On rançonne.
Et l'Etat s'en fout...
L'argent, pour lui,
ça n'est pas un problème
Car c'est grâce au tien,
Qu'il continue
De faire son business…
Allez !
PONT
REFRAIN
« Tu n’y vois rien peut-être
Ou tu t’en fous
Mais l’Etat mon pote, je te le dis
C’est un voyou
Tu n’y vois rien mon pote
Où tu t’en fous
Mais l’Etat vois-tu, si tu m’en crois
C’est un voyou
Et si c’est vrai que j’exagère,
Et pas qu’un peu,
Dans le fond, tu sais
Je ne suis pas loin de la vérité
Et si c’est vrai que j’exagère,
Et pas qu’un peu,
Le parodie s’approche franchement
De la vérité ».
SOLO
Mais la vérité
Qui s’en soucie
De la vérité ?
Et la vérité
C’est que l’Etat, il en profite
COUPLET 2
II. L’Etat voyou
Il aime le luxe
Et la bonne chair
Son train de vie
Pharaonique,
Mon pauvre ami,
Il te coûte cher
Car pour l’entretenir
C’est bien logique
Y a pas le choix
Faut qu’il te saigne.
Pour financer
La retraite à vie
De ses ex-ministres
Les gardes du corps
Du président
De la République
Et de ses gosses
De sa gonzesse
Et de son ex.
L’Etat pique-sou
C’est une fripouille
Qui magouille
Et qui te ponctionne
Qui te dépouille
Et te sanctionne
Il règlemente
Quand il a envie
Dérèglemente
Quand il a envie
Modifie la loi
Brise le pacte social
Dont il se branle
Comme de sa première guerre
Et il te matraque
Il te condamne
Et il t’exploite
Sans la moindre gêne
L’Etat voyou
C’est un bandit
Organisé
Un faux justicier
Qui redistribue
Mais toujours aux mêmes,
Planque bien tes fesses
Si tu ne veux pas
Qu’il te les prennent
Ce grand arnaqueur
De première
Ce serial taxeur
Lâche à tel point
Qu’il te flashe par derrière
Et qu’il récidive
Dans l’excès de pouvoir
Et l’excès de vitesse
Pour voler ton fric
En spécialiste
Voire en esthète.
Il veut des efforts
Pour son confort
Les frais de la princesse ?
Aucun souci
Il les rackette.
Cet Etat voyou
C’est un tas de voyou
Bien propres sur eux
Mais crades dans leurs têtes
Cet Etat voyou
Faudrait qu’on l’arrête
Et le foutre au trou
Mais comme personne
N’est habilité
Faut bien que je m’y colle
En ménestrel.
21:52 Publié dans AU PROGRAMME DE TZJ | Lien permanent | Commentaires (0)
jeudi, 16 octobre 2008
L'Ange blond (II)
La deuxième partie du texte
Bientôt en musique sur TZJ,
Petits veinards...
Bonne nuit! Et à demain.
L'ANGE BLOND (2ème partie)
Il parcourt la Terre entière à l'affut des sensations
Sa vie ne tient qu'à un fil car son défi est permanent
Qu'il s'arc-boute aux montagnes, qu'il laboure les océans
Partout où il y a du risque, il répond toujours présent,
L’Ange blond.
Car il veut tromper la mort, il veut vivre intensément
Jusqu'en bordure de l'à-pic ou dans le tréfonds du volcan
Après le surf et le ski, il voltige au firmament
Après, il ira plonger dans le grand vide ou les grands fonds.
Des records, il n'a que faire ; des honneurs, il a horreur
Sur sa peau les cicatrices sont autant de médailles en or
Et même s'il va toujours plus vite, ce n'est pas pour faire un temps,
C'est pour connaître sa limite qu'il affronte les éléments.
Certains disent qu'il est casse-cou, pour d'autres il est inconscient
Rien ne pourra l'arrêter, rien si ce n'est l'accident
Et si l'accident le rattrappe, un jour par manque d'attention
Sûr qu'il aura droit au ciel pour tester ses nouvelles ailes,
D'Ange blond...
Mais les miracles ils existent
Car au-delà de la mort,
L'Ange blond reste vivant
Même au-delà de la mort,
Dans nos souvenirs bien sûr,
Dans le cœur de l'océan,
Dans le souffle du zéphir,
Des années après sa mort,
Dans nos souvenirs pour sûr,
Dans le cœur de l'océan,
Dans le souffle du zéphir,
L'Ange blond est vivant!
23:19 Publié dans AU PROGRAMME DE TZJ | Lien permanent | Commentaires (0)
samedi, 11 octobre 2008
Des milliers de millions...
He non,
Le sujet n'est pas la crise financière et les milliards de pertes dont on nous rabat les oreilles sur tous les médias.
La Bourse se barre en couille, ah ah, youpi, on s'en cogne !
Qu'est-ce que ça pèse d'ailleurs ces quelques centaines de milliards d'euros dans un univers en perpétuelle expansion ?
Tu vois pas le rapport, moi non plus...
Sauf que là on parle en milliards d'années lumières.
C'est quand même autre chose que de la monnaie à deux balles, non mais sans blague...
L'expansion du cosmos, l'univers qui grandit dans une "infinitude" que l'on ne peut pas se représenter, même en rêve
Voilà qui fait rêver précisément et qui nous change de l'insignifiante plongée du CAC 40...
Et sur ce bon ouiquende,
gy
11:25 Publié dans AU PROGRAMME DE TZJ | Lien permanent | Commentaires (0)