vendredi, 07 novembre 2008
L'illusion
On fonctionne le plus souvent à partir d'une illusion,
L'illusion de croire que c'est bien parce que c'est soi,
Alors il faut confronter cette illusion à la réalité
Et si la réalité finit par renvoyer une image pas trop déformée de l'illusion d'origine
Alors ok,
Tu peux penser que tu n'es plus dans l'illusion.
ps.
au fait, j'oubliais de vous dire que "l'éloge de la branlette amateur" est au programme de cet après-midi,
enfin, si les rédacteurs de TZJ veulent bien arrêter de glander...
10:53 Publié dans AU PROGRAMME DE TZJ | Lien permanent | Commentaires (0)
mercredi, 05 novembre 2008
Ce jour est un grand jour...
(...) Puisque les Etats Unis d'Amérique ont choisi un nouveau Président et pas n'importe lequel.
Cette élection, et la ferveur qui y est associée, porte de toute évidence un immense espoir.
Il est ainsi des jours dont certains avaient rêvé et qui se réalisent.
Il est un rêve que je fais aujourd'hui et qui se réalisera Dieu sait quand mais qui se réalisera aussi, dans mille ans? Je dirai deux mille ans et ça m'étonnerait que quelqu'un vienne contrôler :
L'élection d'un Président à l'échelle mondiale...
Mais peut-être d'ailleurs que Mr OBAMA en est quelque part le précurseur. L'Amérique en a la puissance, reste à l'homme à en avoir la volonté.
Ceci n'est pas seulement du domaine du rêve.
"C'est l'internationale...
Groupons nous dès demain, l'internationale sera le genre humain".
Chantons ensemble !
12:09 Publié dans AU PROGRAMME DE TZJ | Lien permanent | Commentaires (0)
vendredi, 31 octobre 2008
Retrouvailles à NYC
Un homme, Une femme
Deux esprits
(en DUO)
PART.I
H : J’ai parcouru le champ de bataille
Aperçu des fantômes
A moitié nus,
J’avais perdu la mémoire.
F : J’ai voyagé dans l’hyper-espace
A la recherche d’un sourire
D’un petit souvenir de toi,
D’une trace.
H : Mais rien,
F : Pas même un signe
H + F : Juste une vision d’abîme…
H : C’est cet abîme de sentiments
Qui me donne le vertige
F : C’est cet abîme de sentiments
Qui me donne le vertige
H : Le vertige !
F : Qui me donne le vertige
H : Lorsque je pense à nous deux
F : Dans New York
H : A nous deux
F : Dans New York
H + F: Nous…
H + F : Qui ne sommes plus que poussières
H : En suspension
F : En suspension.
PART. II
H: J’ai recraché du fer et du feu
Des tourbillons d’atomes
Dans les sombres rues,
J’avais toujours dans le cœur un espoir
F: Et j’ai recherché cet amour perdu,
Courant après des mirages,
Fouillant les nues pour retrouver
Son visage.
H: Mais rien,
F: Pas un seul signe
H+F : Juste une sensation d’abîme…
H: C’est cet abîme de sentiments
Qui me donne le vertige
F: Le vertige !
H+F:
Ô mon amour…
Lorsque je pense à nous deux
Dans New York
A nous deux
Dans New York
Nous…
Qui ne sommes plus que des poussières
En suspension.
11:37 Publié dans AU PROGRAMME DE TZJ | Lien permanent | Commentaires (0)