lundi, 01 janvier 2007
L'amour rend la vie belle
La vie est belle avant l'amour,
La vie est belle pendant l'amour,
La vie est belle après l'amour,
C'est à cause de la dopamine...
La vie est belle avant l'amour,
La vie est belle pendant l'amour,
La vie est belle après l'amour,
C'est à cause de la dopamine...
L'amour rend la vie belle
Et c'est comme ça depuis toujours.
L'amour rend la vie belle
Et c'est comme ça depuis toujours.
21:05 Publié dans AU PROGRAMME DE TZJ | Lien permanent | Commentaires (0)
A l'ouest...
I.
Ils s’en vont dès le matin
Du soleil plein les yeux
Et ils s’en retournent le soir
Eblouis par le même feu
Ils habitent la banlieue,
La banlieue ouest, la banlieue ouest,
Ils habitent la banlieue, la banlieue ouest
De Paris.
II.
Au volant de leurs voitures
Perdus au fond de leurs rêves
Ils ne sont plus vraiment sûrs
De leur soi-disant privilège
Ils habitent la banlieue,
La partie riche de cette banlieue ouest
Mais ils travaillent, pauvres d’eux,
A l’intérieur de Paris.
Pré- refrain :
Les habitants de la banlieue ouest
Ils sont guidés par le feu céleste
Les habitants de la banlieue ouest…
III.
Attirés par la clarté
Le matin, ils roulent vers l’est
Et lorsque l’astre décline
Ils reprennent la route de l’ouest
Ils habitent la banlieue,
La partie riche de cette banlieue ouest,
Ils habitent la banlieue, la banlieue ouest de Paris
Pré-refrain :
Les habitants de la banlieue ouest
Ils sont guidés par le feu céleste
Les habitants de la banlieue ouest…
On dirait qu’ils ont le feu aux fesses
Refrain :
Ils courent, ils courent
Toujours
Après le peu d’amour que veut bien leur distiller le soleil
Dès le lever du jour, et ce, jusqu’à la fin du jour
Ils cherchent à se faire une place au soleil
Ils courent, ils courent
Toujours,
Après le fric, l’amour, tout ce qui peut remplacer le soleil
Dès le lever du jour, et ce, jusqu’à la fin du jour
Ils cherchent à se faire une place au soleil
Pré-refrain :
Les habitants de la banlieue ouest
Ils sont guidés par le feu céleste
Les habitants de la banlieue ouest…
On dirait qu’ils ont le feu aux fesses
Refrain :
Ils courent, ils courent
Toujours
Après le peu d’amour que veut bien leur distiller le soleil
Dès le lever du jour, et ce, jusqu’à la fin du jour
Ils cherchent à se faire une place au soleil
Ils courent, ils courent
Toujours,
Après le fric, l’amour, tout ce qui peut remplacer le soleil
Dès le lever du jour, et ce, jusqu’à la fin du jour
Ils cherchent à se faire une place au soleil
13:55 Publié dans AU PROGRAMME DE TZJ | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : chanson
dimanche, 24 décembre 2006
Maxim 's Story (en très résumée et en chanson) :
$$$ CIAO NEW YORK $$$
I.
Max en a plein les bottes de traîner dans New York
A la recherche d’un bar pour y jouer son folk
Il n’a plus que la manche pour gagner sa croûte ici
Où est donc passée la gloire qu’un voyant lui avait prédit ?
C’était une belle connerie, mais c’est comme ça.
Il se sent étranger aux soucis de ses pairs
L’angoisse de l’avenir est vraiment secondaire
Quand la première urgence c’est d’apprendre à survivre
Au milieu des clochards qui zonent à moitié ivres
Il voudrait s’en aller loin des lumières de la ville
De ces maudites lumières qui agacent ses pupilles
Il voudrait s’en aller loin des lumières de la ville
Pour pouvoir retrouver la vraie couleur de la nuit
Sans gyrophare, sans clignotant, sans spot
Sans néon, ni fard d’aucune sorte
Il voudrait se glisser
Dans l’épaisseur de la nuit
II.
Max ne supporte plus la fourberie des gens
Qui se marchent dessus et s’excusent poliment
La compétition qui règne de la terre jusqu’au ciel
Du niveau des trottoirs jusqu’en haut des grattes-ciel
Il rêve de s’évader de cette prison de murs
Sillonnée par des rues, bloquées par des voitures
Qui rassemblent les hommes pour mieux les exclure,
Les laissant comme des mouches au milieu des ordures
Il voudrait échapper à l’attraction de la ville
Et à sa puanteur qui pollue ses narines
Il voudrait s’extirper de cette concentration stérile
Pour respirer ailleurs le vrai parfum de la nuit
Et il imagine alors un ciel
Débarassé de cette forêt d’antennes
Fièrement dressée ici
Au sommet des buildings
Allez ciao New York
Allez ciao New York
Ciao New York !
III.
Max a repris la route qui le ramène au pays
Une petite ville perdue au fin fond du Missouri
Il s’est payé une bagnole en revendant sa guitare
Pour la moitié de son prix, environ mille dollars
La radio lui balance un vieux tube de Springsteen
Et pendant un instant, il se prend pour James Dean
Il avale le bitume et chante à travers la nuit
Il bouffe le macadam pour fuir New York City
Il s’en va loin, très loin des lumières de la ville
De ces maudites lumières, symboles de son exil
Il s’en va loin, très loin des lumières de la ville
Et il retrouve enfin la vraie couleur de la nuit.
Plongeant dans l’Amérique chère à son cœur
Dans ses espaces, sa profondeur
Même au réveil, ses rêves ne le quittent plus jamais
Il s’enfonce dans la nuit, Maxime
Et il chante dans la nuit, Maxime :
Allez ciao New York
Allez ciao New York
Ciao New York !
19:25 Publié dans AU PROGRAMME DE TZJ | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : chanson