Le messie du Barça...

C'est qui qui le messie du Barça ?

Il a les cheveux longs, tu vois pas ?

Et il joue au ballon presque comme un Dieu,

Tu vois pas ?

Le Messi du Barça, son prénom

C'est Lionel.

 

 

Portable au cul...

- Tu vois, finalement, mon téléphone portable, j'ai fini par me le mettre au cul...

 

- Non ! Sérieux?

 

- Ben, ouais comme ça quand il vibre, ça fait vibromasseur...

 

- Tu déconnes ?

 

- Pas du tout, regarde, il est là, dans la poche arrière de mon jean.

 

Le massage des fesses, franchement, c'est sympa comme option

 

Et puis comme ça j'ai fini par ne plus le perdre...

Mendiants : TZJ avait tiré la sonnette d'alarme

Comme tous les ans, nous y voilà...

 

cf. le post de janvier 2007 sur cette triste question :

 

dimanche, 14 janvier 2007

Solidarité ?

On attendra le grand froid,

L'hiver venu

Pour penser aux va-nus pieds

Aux gens des rues,

Tous ceux qui ont pour seul plafond

Le ciel étoilé

Tous ceux qui se gèlent sous les ponts

Par moins dix degrés

Ils peuvent toujours crever

Le restant de l'année.

 

On ouvrira le métro

Pour accueillir

Tous ceux qui n'ont pas de toit

Pour dormir.

Mais d'un hiver à l'autre

Il y en a bien peu

Pour s'occuper

Du sort des malheureux

Qui nous émeut dans le vent glacé

La solidarité joue une seule fois l'année

 

Ceux qui condamnent la misère

Dans leurs discours

Ils bronzeront sur la côte

Aux beaux jours.

Dès le printemps venu

Beaucoup oublient leurs scrupules

Ils détournent les yeux et retournent

Dans leur bulle

La charité , chez eux, s'achève le 1er mai

 

"On donne bien assez d'argent

Via les impôts

Si on devait donner plus

C'est nous qui finirions clodos..."

Alors, offrir le gîte et le couvert ?

Vous n'y pensez pas...

Il est bien loin le temps jadis

Lorsque régnait la loi

De l'hospitalité

L'obligation sacrée.

 

Et pourtant,

Nul n'est censé ignorer la loi

L'hospitalité, tu sais, c'est la loi

Nul n'est censé ignorer le droit

Assister son prochain

Tu sais que c'est le droit.

J'avance...

J'avance au milieu des sons divergents

Avec en mémoire

Le souvenir de la perfection

Quand je marchais sur trois pieds

J'aurais pu traverser l'océan...

C'était avec toi ma mie,

C'était il y a longtemps,

Nous étions jeunes et beaux

Touchés par la grâce naïve des enfants

Nous avançons aujourd'hui,

Avec la lucidité des grandes personnes

Enfin, le croyons nous...

Car la lucidité est un bien grand mot

Qui supposerait un parfait entendement

Et nous en sommes encore loin, ma mie

Nous en sommes encore loin...

 

 

 

 

A moi la vidéo...

Au foot comme au pieu, il faut lutter à toute force contre la simulation.

Marre des pénalties escroqués et des orgasmes truqués, je dis stop !

Comme y a pas grand chose à faire contre ce con de Platini qui met son veto à l'arbitrage vidéo (ah la tasse, ce Platoche!) je me suis retourné en désespoir de cause vers ma femme et je lui ai dit :

"Hé chéri, marre de la simulation, dorénavant quand on fera l'amour, on filmera tout ça au camescope, ouais,  au caméscope numérique qu'on fixera au barreau du lit".

"Et après nos copulations fiévreuses, je revisionnerai tout ça au ralenti et si je décèle des indices de simulation, je sortirai le carton rouge a postériori...

"Ouais, bon d'accord, je suis juge et partie, mais tu veux quand même pas que je demande l'avis du voisin !

Alors, voilà-t-y pas, qu'elle me répond, ma femme, que si c'est comme ça et vu qu'il est de notoriété publique que les footeux se dopent comme des cyclistes, elle exigera que je prenne du Viagra avant nos parties de jambe en l'air...

Manque pas de réparti, ma femme, (si elle était aussi maline dans sa cuisine, enfin bref), mais franchement, si ça continue comme ça, au mercato d'hiver, ma femme, je demande son transfert...

Une pluie de conneries...

Je dis des conneries,

Je fais des conneries,

J'écris des conneries,

Je chante des conneries

Mais non je déconne,

Encore une connerie,

Je suis une connerie

A moi tout seul...

Partout où je passe 

J'essaime la connerie

Je sème mes conneries

Comme d'autres la discorde

Mais je reste gentil

Bien propre et poli

Je fais mes conneries

Sans faire chier mon monde

Enfin si on veut,

Encore une connerie

C'est qu'en fait, tu sais,

Je me rends pas compte...

 

 

 

 

Segogo : que la force soit avec moi !

Ah la Segolène, elle nous prend vraiment pour des gogos...

 

Selon elle, sa force principale serait, je la cite, "sa relation particulière avec le peuple".

 

Autant de prétention, ça pose quand même le personnage...

 

 

Ségolène Royal : «ce qui fait ma force»

La candidate estime qu’elle a un
«contact particulier avec le peuple»

 

Une deuxième force colossale qu'elle néglige, notre Ségogo nationale, et qui la caractérise pourtant au plus haut point : c'est son humilité (point commun qu'elle partage d'ailleurs avec Lou BAYROU, l'agriculteur des pyrénées...)

 

Allez, bouffonne, va prendre un peu de vacances, ça nous en fera à nous aussi.

 

ps. N'y voyez aucun soutien à la TITINE du CH'NORD, loin de là, je suis au Centre comme chacun sait. Mais, pour moi le PS, il vaut encore mieux qu'il explose sur une mauvaise querelle de personnes si ça peut servir à le refonder sur des vrais courants d'idées.

Marseillaise à Saint-Denis

Qu'il est fin ce Laporte,

Mais qu'il est fin!

En tous cas, il est bien parti pour ne pas voir le match de ce soir

S'il doit quitter le terrain au premier sifflet...

Car c'est sûr qu'il va prendre, Laporte, au Stade de France.

A moins que la sono à fond ne parvienne à couvrir une prévisible bronca. 

Mais faudra pas dépasser la limite des décibels autorisées...

Sinon les 80.000 spectateurs vont engager la responsabilité de l'Etat

Pour surdités et acouphènes.

Par ailleurs, moi aussi, je la siffle, la Marseillaise,

Gentiment et musicalement, du bout des lèvres.

Est-ce que je risque que l'on fasse évacuer mon salon ?

L'enfer est sur terre

L'enfer est certainement sur terre,

Là où les putes sont avant tout des femmes,

Ou bien l'inverse.

Mais ça vous le saviez déjà.

Enfin, sauf ma mère, qui ne le savait pas

Et qui a tout mon respect.

Même si je suis trop saoul ce soir pour détailler

Je vous le jure et je vous le promets.

L'enfer est sur terre, c'est un fait.

Mais ça vous le saviez déjà.

Vous le saviez déjà.

L'enfer est réellement sur Terre

Là où les cons sont avant tout des hommes

Ou l'inverse

Chacun dans son monde

A des années lumière de distance

Avec la bite en proue

Pour partir à l'abordage

Ou à la guerre

Et tous ces cons sont pourtant frères

Mais ça vous le saviez déjà

Vous le saviez déjà.

 

 

 

 

Excellence ?

Il y a les excellents,

Et les excès de lents.

Bon, là, on est plutôt dans le deuxième cas de figure...

Mais, on n'a jamais prétendu à l'excellence sur ce canal,

Seulement faire concurence à la télévision.

Bon, d'accord, c'est un peu mégalo

Mais le but est louable...

 

ps. ce blog avance, je le rappelle, à la vitesse de l'escargot au galop !